Je sais, par les matins précoces,
Où est mon désir, ma demeure…
Ma vie s’habille d’une écorce
Que rien n’est fini que je meure…
Rêvant dans les allées du parc
Des vœux gratuits ; oui, c’est écrit,
Mon destin tangue, je débarque,
Mes cicatrices font mon prix !
Et c’est comme ça que je bosse :
Suivant la fin, suivant le leurre,
Dans des sandales que je chausse…
Bizarroïde que ma marque…
Vous ne me verrez pas contrit
Pour ce motif : je porte un masque…